Nos traitements en
chirurgie esthétique

La chirurgie esthétique est l’ensemble des gestes chirurgicaux visant à améliorer l’apparence physique ou à retarder les signes de vieillissement. 

Elle s’applique à toute partie du corps humain.


Si vous ne trouvez pas ce que vous cherchez, rendez-vous sur la rubrique « vos besoins ».

Chirurgie du visage

Redonner du volume ?

Rajeunir le regard ?

Repositionner les tissus ?

Réduire cet excès graisseux ?

Harmoniser le nez ou les oreilles ?


Une des possibilités suivantes pourrait être la solution.

La lipostructure est une technique chirurgicale dans laquelle on prélève une quantité de graisse propre au patient et on la transfère à un autre endroit. Cette graisse transférée agit comme une autogreffe.
 
Elle a une double action :
 
  • Elle fonctionne comme un tissu de comblement permettant de restaurer un manque de volume ou de combler un creux apparu avec l’âge. Dans ce but, la lipostructure peut être utilisée par exemple pour une augmentation des pommettes, la restauration de l’ovale du visage, une augmentation des lèvres, un comblement des fosses temporales, … .
  • Sa deuxième action est une action régénérative. La lipostructure permet d’améliorer certains aspects de la peau.
 
La lipostructure peut être effectuée comme chirurgie unique afin de remodeler le visage ou combinée à un autre geste opératoire comme un lifting cervico-facial … .
 
La lipostructure donne des résultats stables dans le temps. Pour cette raison, la lipostructure présente un avantage majeur par rapport aux produits de comblement synthétiques, comme l’acide hyaluronique.
 
Les zones de prélèvement graisseux seront examinées par le chirurgien et dépendent entre autre de la zone du visage à traiter. Le prélèvement se fait avec une micro-canule de lipoaspiration et ne laissera guerre de trace. La graisse, centrifugée et épurée, est finalement déposée minutieusement dans des zones bien précises du visage.
 
En pratique, l’intervention d’une lipostructure du visage peut se faire sous anesthésie locale pour une petite zone à traiter. Généralement, elle se fait néanmoins sous légère anesthésie générale avec une hospitalisation en ambulatoire (sortie le soir). La durée de l’intervention peut varier entre 30 min et 1h30 en fonction des zones à traiter. Dépendant de l’importance du geste opératoire, une période de quelques jours à 10 jours d’œdème postopératoire est à calculer pour la reprise de la vie sociale.
 
Pour plus d’info sur cette intervention, consultez la fiche d’info dédiée à la lipostructure.

La blépharoplastie est la chirurgie qui corrige les paupières. Elle peut être effectuée pour les paupières supérieures (blépharoplastie supérieure) et les paupières inférieures (blépharoplastie inférieure). La blépharoplastie permet d’enlever l’excès de peau et/ou de « poches » graisseuses des paupières.
 
L’incision pour la blépharoplastie supérieure se trouve cachée dans le pli naturel de la paupière supérieure. Quant à la blépharoplastie inférieure, l’incision peut être à l’intérieur et donc invisible (voie interne) ou au ras des cils de la paupière inférieure en cas d’un excès cutané à retirer. Une lipostructure des paupières, des pommettes ou des sourcils est souvent associée dans le même temps opératoire et n’entraîne aucune cicatrice complémentaire au niveau du visage.
 
En pratique, l’intervention de blépharoplastie se fait généralement sous anesthésie locale ou sous une légère anesthésie générale (si associée à une lipostructure) avec une hospitalisation ambulatoire. La sortie se fait sans pansement à part un stéristrip sur la paupière supérieure.

Une période d’une dizaine de jours est à prévoir avant d’être socialement présentable à cause des ecchymoses autour des yeux.

La blépharoplastie est une technique efficace dans l’ouverture du regard. Son association à une lipostructure entraîne un réel rajeunissement de toute la zone orbito-frontale.
 
Pour plus d’info sur cette intervention, consultez la fiche d’info dédiée à la blépharoplastie.

Le lifting cervico-facial est une des interventions les plus connues en chirurgie esthétique permettant le rajeunissement global du visage et du cou. Il permet de repositionner les tissus d’un visage montrant des signes du vieillissement (bas joues, relâchement cervical, sillons nasogéniens, …).


Le lifting cervico-facial peut être associé dans le même temps opératoire ou dans les suites postopératoires à d’autres techniques de rajeunissement facial, comme une lipostructure ou des techniques utilisées en médecine esthétique.


Le but étant non seulement de repositionner des tissus descendus ou de recréer des tissus atrophiés avec le temps mais également d’intervenir sur la qualité de peau.


En pratique, l’intervention du lifting cervico-facial se fait généralement sous anesthésie générale avec une hospitalisation de 1 nuit.


La durée de l’intervention peut varier entre 3 à 4 heures. La sortie est prévue le lendemain de l’intervention sans pansement.

Une période d’une dizaine de jours est à prévoir avant d’être socialement présentable.


Un lifting cervico-facial embellit et rajeunit l’ensemble du visage. Il ralentit le processus du vieillissement sans néanmoins pouvoir l’arrêter.


Pour plus d’info sur cette intervention, consultez la fiche d’info dédiée au lifting cervico-facial.

La «lipoaspiration » ou « liposuccion » ou « Liposculpture » est une technique chirurgicale qui permet de supprimer les excès graisseux localisés dans le but d’améliorer la silhouette localement et dans son ensemble. Au niveau du visage, certaines zones peuvent être traitées avec cette technique afin d’affiner les contours du visage : le menton, le cou et certaines zones de la joue.


Les cicatrices sont des petits traits situés dans un pli cutané. La graisse traitée par cette technique est celle située dans la partie profonde de la zone sous-cutanée. Il est dès lors important de comprendre que l’aspect « cellulite » ou « peau d’orange » ne sera pas traité avec une lipoaspiration. Par ailleurs, la limite d’une lipoaspiration est déterminée par la qualité de la peau et non pas par la quantité de graisse présente. Une bonne hydratation et élasticité de la peau sont dès lors essentielles.


En pratique, cette intervention peut se faire sous anesthésie locale, s’il s’agit d’une petite zone à traiter. Généralement néanmoins, elle se fait sous anesthésie générale légère avec une hospitalisation de courte durée (ambulatoire).


La durée de l’intervention peut varier entre 30 min à 2h en fonction de l’importance du geste.


Les résultats d’une lipoaspiration ne sont pas immédiatement visibles. En effet, avec la résorption de l’œdème postopératoire, le résultat devient progressivement visible dans les 3 premiers mois. Des séances de drainage lymphatique à partir de 2 semaines postopératoires peuvent être nécessaires dans certains cas.


Pour plus d’info sur cette intervention, consultez la fiche d’info dédiée à la lipoaspiration.

Le nez est un élément important dans l’harmonie du visage. Une analyse des proportions du visage permet d’évaluer cet équilibre facial. Pour cette raison, dans certaines situations, une rhinoplastie associée à un geste au niveau du menton peut améliorer davantage l’harmonie de la face.


La rhinoplastie proprement dite est la technique chirurgicale permettant de modifier l’aspect morphologique du nez : sa forme, sa taille, sa longueur, sa largeur, … . Le nez peut être modifié à différents niveaux : la pointe nasale, les narines, le dorsum nasal, la racine du nez.


Après un examen clinique et une étude approfondie du dossier photographique, le chirurgien pourra vous proposer le traitement chirurgical adapté à vous. La rhinoplastie est une intervention entièrement personnalisée.


Le but de la rhinoplastie est d’harmoniser le nez individuel dans l’ensemble du visage.


En pratique, l’intervention de rhinoplastie se fait généralement sous anesthésie générale légère avec une hospitalisation de courte durée (ambulatoire ou hospitalisation de 1 nuit). La durée de l’intervention peut varier en fonction des gestes opératoires à effectuer.


Le pansement consiste en une petite plaque métallique sur le dorsum nasal pendant une semaine en cas d’un geste osseux. Des simples stéristrips sur le nez suffisent pour une rhinoplastie qui ne touche pas les structures osseuses. D’habitude, la sortie se fait sans mèches dans les narines.


Une période d’une dizaine de jours est à prévoir avant de reprendre une activité normale. En effet, cette période correspond à la disparition des ecchymoses autour des yeux. Il est possible d’éprouver une gêne respiratoire pendant quelques semaines en postopératoire, due à l’œdème interne. Celle-ci disparaît progressivement.


Quant aux résultats, il est important de savoir qu’il faut plusieurs mois avant de réellement pouvoir évaluer le résultat définitif de l’intervention. Le gonflement disparaît progressivement au cours des 3 à 6 mois postopératoires.


Pour plus d’info sur cette intervention, consultez la fiche d’info dédiée à la rhinoplastie.

Des oreilles dites « décollées » présentent essentiellement une ou deux déformations : le pavillon jugé trop vers l’avant et/ou le pavillon présentant un défaut du pli de l’oreille. La déformation peut être uni-ou bilatérale.
 
La présence d’oreilles décollées peut entraîner des problèmes psychologiques dans la vie sociale et scolaire. Une otoplastie permet de corriger ses défauts.
 
Il s’agit d’une intervention rapide et simple. La technique utilisée dépend de la déformation.
 
L’intervention peut se faire dès l‘âge de 6 à 7 ans. Il s’agit d’une intervention peu douloureuse.
 
En pratique, généralement cette intervention se fait sous anesthésie locale ou courte anesthésie générale avec une hospitalisation en chirurgie ambulatoire. Un pansement en bandeau est mis en place après l’intervention et gardé pendant une semaine. Un bandeau de protection est nécessaire pendant quelques semaines jour et nuit.
 
Pour plus d’info sur cette intervention, consultez la fiche d’info dédiée à la chirurgie des oreilles décollées.

Chirurgie des seins

Augmenter le volume des seins ?

Réduire le poids de la poitrine ?

Simplement remonter et améliorer la forme des seins ?

Réduire les seins chez un homme ?

 

Une des possibilités suivantes peut être la solution.

Augmenter le volume des seins peut se faire de deux façons. Néanmoins la façon la plus fréquente reste les implants mammaires car la plupart du temps, les patientes demandeuses d’une augmentation mammaire ont peu de capital graisseux.
 
L’intervention consiste à introduire via une petite incision un implant qui va donner le volume manquant de la poitrine. Cette prothèse est un implant en gel de silicone. Elle peut être placée devant ou derrière le muscle. La sensibilité du mamelon reste intacte et la possibilité d’un éventuel allaitement futur est conservée. La taille et la forme de l’implant seront soigneusement choisies avant l’intervention en tenant compte des souhaits et de l’anatomie de la patiente.
 
La durée de vie d’un implant mammaire peut être variable (la moyenne étant de 10 ans). Il faut compter sur un ou plusieurs changements d’implants dans sa vie. Toutefois, il n’y a pas lieu de changer d’emblée les implants tous les dix ans. Une ré-intervention sera proposée uniquement si celle-ci s’avère être nécessaire.
 
Les implants mammaires n’augmentent pas le risque de survenue de cancer du sein de loin le plus fréquent (adénocarcinome). Cependant, il est important de spécifier aux radiologues la présence des implants mammaires afin de leur permettre d’adapter certaines techniques de dépistage de cancer du sein en présence d’implants. En cas de doute d’un cancer du sein, la présence des implants mammaires peut demander une exploration un peu plus invasive pour obtenir une certitude diagnostique.
 
Récemment, dans des cas très rares, un Lymphome Anaplasique à Grandes Cellules associé aux implants mammaires (LAGC-AIM) a été découvert. Cette pathologie doit être recherchée en cas de signes cliniques avérés (épanchement péri-prothétique tardif, rougeur du sein, augmentation du volume du sein, masse perceptible). Dans la majorité des cas (90%), cette entité est de très bon pronostic. Dans des cas plus rares, la pathologie est plus grave et nécessite une prise en charge spécialisée dans le traitement des lymphomes.
 
En pratique, généralement cette intervention se fait sous anesthésie générale avec une hospitalisation de courte durée (ambulatoire ou 1 nuit).
 
Dans la période postopératoire et ce pendant 3 mois, le port d’un soutien-gorge de sport (avec ou sans bande thoracique) est capital afin de maintenir le bon positionnement de l’implant. Toute activité sportive utilisant les muscles pectoraux et/ou de ballottement de la poitrine est à éviter pendant 3 mois. Après cette période, toute activité physique est autorisée.
 
Pour plus d’info sur cette intervention, consultez la fiche d’info dédiée à l’augmentation mammaire par implants.
Le lipomodelage ou le transfert de tissu graisseux autologue consiste à prélever les propres tissus graisseux chez la patiente et de les transférer au niveau de la poitrine dans le but d’en augmenter le volume général ou de corriger un défaut localisé. Les sites de prélèvement graisseux sont les sites classiques d’une lipoaspiration : culotte de cheval, abdomen, genoux, … .
 
Les résultats sont très naturels mais nécessitent parfois deux interventions si on souhaite obtenir un volume important. La présence d’un capital graisseux suffisant est donc nécessaire afin de pouvoir proposer une telle intervention.
 
Lors de la consultation, le chirurgien vous confirmera la possibilité de pratiquer cette intervention en fonction de différents facteurs (capital graisseux, morphologie de la poitrine, antécédents médicaux, …)
 
En pratique, généralement cette intervention se fait sous anesthésie générale avec une hospitalisation de courte durée (12 à 24 h).
 
Un bilan radiologique se fera avant l’intervention et à un an, voire même jusqu’à 2 à 3 ans postopératoires en fonction des recommandations radiologiques.
 
Pendant les 3 premières semaines postopératoires, toute compression locale est à éviter. L’appréciation du volume définitif ne se fait pas avant 3 mois postopératoires. En effet, durant cette période, l’oedème disparaît progressivement et une partie de la graisse transférée se résorbe. On attendra cette période avant d’effectuer éventuellement une deuxième intervention si un volume plus important est souhaité.
 
Pour plus d’info sur cette intervention, consultez la fiche d’info dédiée à l’augmentation mammaire par transfert graisseux

La réduction mammaire est l’intervention chirurgicale qui permet de diminuer le volume et donc le poids de la poitrine.

 

En effet, une lourde poitrine (hypertrophie mammaire) peut donner un aspect inesthétique, mais peut également être invalidante dans la vie de tous les jours (difficultés vestimentaires, pratique de sport, …). Elle peut par ailleurs être responsable d’une gêne physique sous forme de douleurs au niveau du dos, des épaules ou de la nuque. Une poitrine hypertrophique présente généralement une ptose mammaire (affaissement des seins). Une asymétrie entre les deux seins est fréquente.

 

L’intervention de réduction mammaire diminue le volume des seins mais corrige également leur forme. Elle permet de remonter les seins ou de corriger une éventuelle asymétrie. Les cicatrices d’une réduction mammaire sont : une cicatrice autour de l’aréole associée à une verticale. Dans certaines situations, une cicatrice horizontale, cachée dans le sillon, sera rajoutée.

 

Lors de la consultation, le chirurgien examine la poitrine et apprécie l’importance de l’hypertrophie, de la ptose et de l’existence éventuelle d’une asymétrie. Le choix de la technique et ses cicatrices se fait en fonction de différents critères et est expliqué à la patiente. 

 

En pratique, cette intervention peut se pratiquer dès l’âge de 17 ans à 19 ans dans des formes de hypertrophie importante et invalidante.

L’intervention se fait sous anesthésie générale avec une hospitalisation courte (ambulatoire ou 1 nuit).

 

Dans la période postopératoire et ce pendant 3 mois, le port d’un soutien gorge de sport jour et nuit est conseillé.

 

Il est important de savoir que l’opération d’une réduction mammaire donne des seins qui restent naturels. Ils restent sensibles à tout changement hormonal et aux changements de poids. Le risque de survenu d’un cancer n’est pas augmenté par cette intervention.

 

Pour plus d’info sur cette intervention, consultez la fiche d’info dédiée à la réduction mammaire.

Le lifting des seins ou encore nommé la mastopexie est l’intervention chirurgicale qui permet de remonter une poitrine tombante. Ce relâchement tissulaire survient progressivement avec l’âge mais peut être accéléré en cas d’amaigrissement important ou après une grossesse.

 

L’intervention de mastopexie consiste à remonter la plaque aréolo-mamelonnaire, réduire l’étui cutané, et à remodeler le sein afin d’obtenir une position et une forme plus harmonieuse. Le volume de la poitrine reste le même ou peut, dans certains cas, être légèrement diminué afin de rendre le résultat plus stable dans le temps.

 

Les cicatrices qui en résultent sont : une cicatrice autour de l’aréole associée ou non à une verticale. Dans certaines situations, une cicatrice horizontale, cachée dans le sillon, sera rajoutée.

 

Lors de la consultation, le chirurgien examine la poitrine et apprécie l’importance de la ptose mammaire. Le choix de la technique et ses cicatrices se fait en fonction de différents critères et est expliqué à la patiente.

 

En pratique, l’intervention se fait sous anesthésie générale avec généralement une hospitalisation ambulatoire.

 

Dans la période postopératoire et ce pendant 3 mois, le port d’un soutien-gorge de sport jour et nuit est conseillé.

 

Il est important de savoir que la mastopexie donne des seins qui restent naturels. Ils restent sensibles à tout changement hormonal et aux changements de poids. Le risque de survenu d’un cancer n’est pas augmenté par cette intervention.

 

Pour plus d’info sur cette intervention, consultez la fiche d’info dédiée à la ptose mammaire.

La gynécomastie est définie par l’augmentation du volume de la glande mammaire chez l’homme. Elle peut être uni-ou bilatérale. Elle est le résultat d’un changement hormonal, le plus souvent physiologique, chez l’homme. Dans certains cas, elle peut être associée à des maladies systémiques ou à une prise de médicament.
Elle présente souvent une gêne psychologique chez l’homme.


Un examen clinique, un bilan hormonal et radiologique et parfois une consultation chez un endocrinologue, sont nécessaires avant de poser l’indication chirurgicale.


Pour une gynécomastie qui persiste, la chirurgie reste souvent la seule option de traitement.

La technique opératoire est adaptée à chaque cas pour obtenir les meilleurs résultats.

La technique de lipoaspiration est quasiment toujours utilisée.


  • Pour les gynécomasties essentiellement graisseuses, la technique de lipoaspiration est utilisée pour réduire le component graisseux du sein. Dans la majorité des cas, cette technique suffit afin d’obtenir un résultat satisfaisant.
  • Pour une gynécomastie avec un composant glandulaire plus important, la lipoaspiration sera combinée avec une résection chirurgicale de la glande mammaire restante dans le même temps opératoire.
  • Dans des cas plus importants, l’opération peut se faire en deux temps opératoires: le premier temps opératoire consiste en une lipoaspiration du sein. Une rétraction cutanée s’installe durant les 6 mois postopératoires. Dans le deuxième temps opératoire, la résection du restant de la glande est envisagée.
 

En pratique, généralement cette intervention se fait sous anesthésie générale avec une hospitalisation de courte durée (ambulatoire ou 1 nuit).


Pour plus d’info sur cette intervention, consultez la fiche d’info dédiée à la gynécomastie.

Chirurgie de l’abdomen

Se débarrasser du tablier abdominal ?

Retendre la peau du ventre ?

Réduire l’épaisseur du bourrelet graisseux ?

 

Une des possibilités suivantes pourrait être la solution.

La  « plastie abdominale» ou « abdominoplastie » est la technique indiquée pour la correction d’une ceinture abdominale relâchée : laxité et/ou excès cutané, relâchement de la paroi musculaire abdominale. Elle permet d’obtenir un ventre plat et ferme en remettant sous tension ces différentes structures. Une lipoaspiration complémentaire de certaines zones peut être proposée dans des cas bien définis.

 

La plastie abdominale consiste à l’enlèvement de la quantité de peau en excès avec ou sans suture de la gaine musculaire sous-jacente. La cicatrice se situe au niveau du pubis et sa longueur dépend de l’importance de l’excès cutané. En cas d’excès de peau plus important, une petite cicatrice autour du nombril sera également nécessaire.


En pratique, cette intervention se fait sous anesthésie générale avec une hospitalisation d’une durée variable (entre 1 à 3 jours). La durée de l’intervention peut varier entre 1h et 2h.


Les résultats d’une plastie abdominale sont visibles immédiatement. Néanmoins, ils ne sont que réellement appréciables au bout de 2 à 3 mois, avec la résorption de l’œdème. Le port d’une gaine abdominale en postopératoire est nécessaire pendant minimum 4 semaines. Il peut durer jusqu’à 3 mois en cas de suture de la gaine musculaire. Des séances de drainage lymphatique en postopératoire peuvent aider à un rétablissement plus rapide.


La plastie abdominale permet de retrouver, de façon efficace et radicale, une silhouette naturelle adaptée aux habitudes vestimentaires et au mode de vie du ou de la patient(e).


Pour plus d’info sur cette intervention, consultez la fiche d’info dédiée à la chirurgie plastique de la paroi abdominale

La «lipoaspiration » ou « liposuccion » ou « liposculpture » est une technique chirurgicale qui permet de supprimer les excès graisseux localisés dans le but d’améliorer la silhouette localement et dans son ensemble. Il s’agît le plus souvent des zones graisseuses résistantes après amaigrissement, comme la culotte de cheval, les hanches, la face interne des genoux ou des cuisses, abdomen, … .

 

Les cicatrices sont des petits traits situés dans un pli cutané. La graisse traitée par cette technique est celle située dans la partie profonde de la zone sous-cutanée. Il est dès lors important de comprendre que l’aspect « cellulite » ou « peau d’orange » ne sera pas traité avec une lipoaspiration. Par ailleurs, la limite d’une lipoaspiration est déterminée par la qualité de la peau et non pas par la quantité de graisse présente. Une bonne hydratation et élasticité de la peau sont dès lors essentielles.


En pratique, cette intervention peut se faire sous anesthésie locale, s’il s’agit d’une petite zone à traiter. Généralement néanmoins, elle se fait sous anesthésie générale légère avec une hospitalisation de courte durée (ambulatoire ou 48h).


La durée de l’intervention peut varier entre 30 min à 2h en fonction de l’importance du geste.

Les résultats d’une lipoaspiration ne sont pas immédiatement visibles. En effet, avec la résorption de l’œdème postopératoire, le résultat devient progressivement visible dans les 3 premiers mois. Le port d’une gaine de contention est obligatoire pendant cette période. Des séances de drainage lymphatique à partir de 2 semaines postopératoires peuvent être nécessaires dans certains cas.


Pour plus d’info sur cette intervention, consultez la fiche d’info dédiée à la lipoaspiration.

Chirurgie intime

Réduire les petites lèvres ?

Améliorer le confort dans les sous-vêtements ?

 

Cette chirurgie pourrait vous convenir.

Une hypertrophie des petites lèvres peut entraîner un complexe pour la patiente lors des relations intimes. Elle peut dans certains cas également donner une gêne fonctionnelle : vestimentaire, activités sportives, etc .


En pratique, cette intervention est plus confortable pour la patiente lorsqu’elle est effectuée sous une légère anesthésie générale. L’hospitalisation est de courte durée (ambulatoire).
La durée de l’intervention peut varier entre 30 min à 1h.


Les résultats d’une nymphoplastie sont immédiatement visibles. Néanmoins, avec la résorption de l’œdème postopératoire, le résultat devient réellement appréciable à partir de quelques jours après l’intervention.


Les soins locaux sont simples et se font par la patiente même.


Pour plus d’info sur cette intervention, consultez la fiche d’info dédiée à la nymphoplastie.

Vous avez une question ?

Posez-la au Docteur ou prenez directement rendez-vous !

Quels sont vos besoins ?